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 Nabooru l'Exaltée - Sage de l'Esprit

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triforce

Nabooru Sen'fora

Exaltée du Désert

Nabooru Sen'fora
 Exaltée du Désert

Messages : 24
Inscription : 01/04/2015
Localisation : Dans la Vallée gerudo

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MessageSujet: Nabooru l'Exaltée - Sage de l'Esprit   Nabooru l'Exaltée - Sage de l'Esprit Icon_minitimeMer 1 Avr - 23:21



Nabooru Sen'fora



Informations

Age : 31 ans
Surnom : L'Exaltée
Race : Gerudo
Camp : … C'est compliqué...
Orientation Sexuelle : Hétéro ~

Loisirs : Parcourir le désert, chevaucher, sentir le soleil sur ma peau. M'occuper de mon Temple, en un sens.
Feat avatar : Wictorian Art et Nonro
Rang personnalisé :
Code:
<font color=chocolate> Exaltée du Désert </font>

Pouvoirs

-Communication avec les équins : Mes instructrices ont toujours pensé que je m'entendais extrêmement bien avec les chevaux que je montais. En réalité, c'est un peu plus que cela, puisque je suis capable de me faire comprendre d'eux et de les comprendre en retour.

-Lien télépathique : Depuis que je suis devenue l'Exaltée, je suis capable de tisser un lien télépathique avec quelqu'un. Il me faut un contact physique pour cela, et il faut que cette personne accepte de m'ouvrir son esprit, je ne peux pas l'imposer contre sa volonté. Mais à partir de là, nous pouvons partager nos pensées, bien que le lien s'amenuise avec le temps. Je peux en instaurer plusieurs à la fois, mais cela m'épuise mentalement et je ne peux les tenir très longtemps. Déjà qu'en utiliser un pendant longtemps me donne d'atroces migraines...

-Armes : Mon arme de prédilection est, bien évidemment, deux sabres gerudos, comme la plupart des guerrières de mon peuple. J'ai aussi appris à manier la lance et l'arc, à pied comme à cheval, mais j'y suis moins douée. En outre… Dois-je dire grâce à Ganondorf et aux soeurs Twinrova ? Toujours est-il que j'ai appris à me battre dans l'armure d'un hache-viande et avec son arme colossale, et le retour dans le temps ne me l'a pas fait oublier, quand bien même l'idée de recommencer me répugne.

Description Physique

Je serais tentée de dire que je ressemble à la majorité des Gerudos. La peau sombre, les cheveux rouges - teintés par le désert et les roches rouges qui s'y trouvent, disent certains - les yeux dorés… De taille moyenne, fine, mais avec des muscles nettement visibles, forgés par le combat. Mais se décrire physiquement, c'est parler de ses différences par rapport à la norme, et pas de ses ressemblances, alors allons-y.

Mes cheveux fins sont extrêmement longs ; ils tombent en dessous de mes fesses. C'est pourquoi, à part lorsque je dors, je les attache en une queue de cheval haute, avec un bijou portant un rubis de bonne taille, pointant vers le ciel, qui est, également, l'apanage de l'Exaltée, afin que toutes sachent qui je suis. Ce n'est pas le seul bijou que je porte, loin de là. Boucles d'oreilles, diadème, bracelets, pendentif… Tous sont dans des teintes d'or ou de rouge, les couleurs de la Vallée gerudo.

Mes vêtements, par contre, sont beaucoup plus simples. Je ne porte généralement qu'un pantalon bouffant, de couleur claire, blanc, crème ou rose pâle, la plupart du temps, et une simple pièce de tissu, aux motifs gerudos, pour recouvrir et tenir mes seins. Parfois, j'y ajoute des mitaines, claires également, qui remontent presque jusqu'à mon coude. En terme de chaussure, j'alterne entre les bottes - notamment pour les longues chevauchées - et les babouches, plus confortables.

Lorsque je dois sortir la nuit dans le désert, ou aller hors de la Vallée, il est bien évident que je me couvre davantage, je ne vais pas me promener presque nue lorsqu'il fait froid, si je peux faire autrement. Il s'agit bien sûr de ma tenue de tous les jours, et je dispose également d'une armure lorsqu'il me faut combattre - et pas une armure de hache-viande.

Description Mentale

Je suis restée assez fidèle à mon éducation gerudo, dans l'ensemble. J'ai un grand sens du devoir, assez pour m'amener à mépriser ceux qui n'y accordent pas autant d'importance que moi. Trop grand, peut-être. Je me suis parfois demandée si je ne ferais pas mieux d'être moins intransigeante… Mais c'est en cherchant à faire le meilleur qui soit possible qu'on arrive à bien exploiter ses capacités.

Outre mes devoirs, personnels ou en tant qu'Exaltée, j'accorde une grande importance aux traditions. Elles sont les piliers sur lesquels repose notre société, et elles servent de lien entre les générations successives. Concevant déjà difficilement qu'il faille les modifier - bien que j'en sois capable, dans certains cas - je n'accepte pas l'idée qu'elles puissent être abrogées ou bafouées.

Il n'y a guère qu'un cas pour lequel je sois plus que partagée : notre roi. Je sais que les traditions lui donnent cette place. Je sais, pour avoir été élevée en même temps que lui, ce dont il est capable, et qu'il pourrait être parfaitement digne de ce trône. Mais lorsque je pense à ce qu'il en a fait… Je ne me sens pas capable de le suivre et de lui obéir, comme je le devrais. Je n'arrive pas à savoir clairement ce que je pense de lui, et je me retrouve partagée entre des sentiments et des volontés contradictoires...

Ayant été élevée pour être la guide spirituelle de la tribu, je tente de prendre mes décisions le plus objectivement possible, en réfléchissant à tous les aspects de la situation. Mais je peine à atteindre cet idéal, mes sentiments prenant souvent le dessus sur la réflexion. Peut-être est-ce aussi cela, être l'Exaltée. Laisser parler ses sentiments pour le bien de tous, pour rappeler qu'ils sont importants aussi et ne doivent pas être totalement dédaignés.

Toujours est-il que je suis prête à défendre mon honneur, de guerrière, de Gerudo, d'Exaltée, contre quiconque me manquant de respect ou me dénigrant. Cette fierté, ou cet orgueil, selon les points de vue, s'étend jusqu'à mon peuple, dont je suis profondément fière de faire partie. Je sais que certains nous traitent de voleuses… Mais ils ne le font pas en ma présence - ou ils ne le font qu'une seule fois. Je n'ai pas peur de tirer mes armes pour régler un différent si la parole ne suffit pas.

Histoire

Presque toutes les Gerudos étaient assemblées devant la Déesse des Sables, ce matin-là. Six ans, jour pour jour, s'étaient écoulés depuis la mort de Man'hala l'Exaltée. Aussi avions-nous été conduites, la veille au soir, à l'intérieur du temple. Les Anciennes nous avaient guidées jusqu'à la statue intérieure et nous avaient ensuite laissées là bas, nous enjoignant de garder le silence jusqu'à ce qu'elles reviennent, le lendemain. Elles ne nous avaient pas précisé que nous ne devions pas nous endormir, mais je crois qu'aucune de nous n'y songea. Malgré notre jeune âge, nous avions conscience de l'importance de cette nuit.

Six ans après la mort d'une Exaltée, la tradition veut que toutes les Gerudos ayant vu le jour pendant l'année de son trépas passent ainsi la nuit au sein de la Déesse des Sables. Et au cours de cette nuit, l'une d'elles est choisie pour devenir la nouvelle Exaltée, responsable du Temple et guide spirituelle de la tribu. Seules les Anciennes et celles qui ont participé au rite savent comment ce choix se déroule, et elles sont tenues au secret le plus absolu, même envers le reste des Gerudos.

Nous attendions donc avec une impatience anxieuse, hésitant entre nous regrouper pour nous sentir moins seules, ou nous écarter pour méditer et essayer d'avoir une révélation, pensant que c'était ainsi que l'Exaltée prenait conscience qu'elle avait été choisie. Nous alternions donc, au fil des heures, nous écartant presque à tour de rôle du groupe que nous formions. Et, alors que j'étais à quelques mètres des autres, assise en tailleur, à essayer de trouver ce que j'imaginais être la paix intérieure, il y eu un bruit.

Je relevai le regard juste à temps pour voir un animal, d'une espèce que je n'avais jamais vue nulle part, se jeter sur moi. Avec un cri de peur, je roulai au sol pour essayer de l'éviter, et ses griffes me labourèrent la poitrine. Je dus m'évanouir, car lorsque je rouvris les yeux, les Anciennes me soignaient, et le monstre avait disparu. Elles m'expliquèrent alors qu'elles étaient restées non loin, et que c'était la créature qui m'avait attaquée qui choisissait l'Exaltée : l'enfant qu'elle essayait de tuer.

A l'époque, je n'avais pas compris. Les Anciennes savaient-elles ? Je n'en ai aucune idée, je ne leur ai toujours pas posé la question. Mais à présent, je comprends. La Gardienne du Temple cherchait à tuer celle qu'elle sentait être la Sage des lieux.

Elles me soignèrent donc et bandèrent mon torse, avant de poser sur mes épaules une cape, la cape rituelle que chaque Exaltée portait pour sortir du temple. Et, en dépit de la douleur lancinante de ma blessure, je dus, après quelques heures de repos seulement, me lever et sortir du temple sous le regard de toute la tribu, suivie par les Anciennes et par mes camarades de rite.

La vie reprit ensuite son cours normal… A peu de choses près. Si j'avais désormais un peu plus de considération de la part des adultes, je devais également faire face à des attentes beaucoup plus grandes. Je m'efforçais d'être à la hauteur, mais je m'agaçais, intérieurement, de voir que Ganondorf Dragmire avait droit à plus d'égards que moi. Avec une jalousie enfantine, je songeais que, s'il n'était pas né, lui que les traditions désignaient comme notre roi, j'aurais dirigé la tribu en compagnie du Conseil des Anciennes, à partir de mes 16 ans. Et il avait droit à bien plus de respect que moi. Et j'avais en outre l'impression qu'il ne m'appréciait pas non plus, ce qui me vexait.

Puis je grandis, laissant cette rivalité infantile derrière moi. Qu'il y ait ou non un roi dans notre tribu ne me retirait pas mon devoir, celui de faire honneur à mon titre d'Exaltée et d'être la guide spirituelle des miennes. J'attendais avec impatience, bien qu'en le dissimulant soigneusement, l'anniversaire de mes seize ans, pour pouvoir enfin remplir pleinement mon rôle. Toutefois, le premier conseil auquel je participai me laissa un goût amer dans la bouche.

Que celui qui était encore notre prince pour peu de temps se soit cru suffisamment au dessus des autres pour se permettre d'enfreindre les lois de notre peuple, en amenant un étranger au sein de la Forteresse me révoltait. Qu'il soit couronné, d'ici quelques mois, comme Roi des Gerudos, ne lui donnait pas le droit de piétiner toutes nos lois et nos traditions. Et je me sentais honteuse pour lui qu'il ait tenté de fuir, en abandonnant tous ses devoirs et ses responsabilités. Sur tous ces points, j'étais en accord avec l'opinion des Anciennes.

Mais le fouetter pour le faire renoncer à son amour ? Qu'il soit puni, surveillé, je pouvais le comprendre. J'en acceptais la nécessité, car il était notre roi et que les traditions devaient être respectées. Mais pas ainsi. Je m'opposai autant que je le pus à cette idée, argumentant du mieux que je le pouvais du haut de mes seize ans. Mais finalement, je m'inclinai, voyant que je ne pouvais convaincre l'ensemble des Anciennes. Peut-être étais-je trop jeune. Peut-être, également, étais-je jalouse, ce qui m'empêchait d'être aussi persuasive que je l'espérais. Jalouse qu'il aime quelqu'un à ce point, alors que je ne connaissais pas encore ce sentiment.

Je m'obligeai à assister à la punition que je n'avais pu empêcher. Je me sentais mal face à cette violence inutile - même s'il cédait et disait ce que voulaient les Anciennes, cela ferait-il changer son coeur ? Non, cela ne ferait qu'ajouter à sa douleur d'être séparé de ce Khinjar celle de l'avoir trahi, d'avoir cédé face à la douleur. A mon sens, ce n'était pas ainsi que l'on forgeait un roi fort. Mais je restai jusqu'à la fin, me promettant d'être écoutée, la prochaine fois qu'une telle situation se présenterait.

Dans les années qui suivirent, je me rapprochai, toutes proportions gardées, de Ganondorf. Nous n'étions pas réellement proches, mais nous nous apprécions en dehors de nos rôles respectifs. Un peu plus que des connaissances, un peu moins que des amis, certainement, puisque nous parlions rarement de nous. Mais bien assez pour me douter que certains de ses devoirs lui pesaient lourdement. Et assez pour, lorsque je voulus avoir un enfant, l'année de nos vingt ans, je lui laisse clairement le choix, lui précisant que me trouver un amant hylien pour le concevoir ne me dérangeait pas. Mais il accepta, et je passai plusieurs nuits avec lui. Neuf mois plus tard naquit Hodja.

Elle ne sut jamais le nom de son père, bien évidemment. Aucune enfant gerudo ne le savait, que ce soit pendant les périodes où nous avions un roi et celles où nous n'en avions pas. Ainsi, il n'y avait pas de jalousies, pas de discriminations… C'était bien mieux ainsi, tout comme le fait que l'éducation soit en grande partie collective.

Le temps s'écoula à nouveau, jusqu'à ce que notre Roi ne décide de se rendre au château d'Hyrule. Le Conseil des Anciennes et moi-même étions d'accord avec lui sur l'idée de nous tourner davantage vers les autres peuples, ce qui passait avant tout par l'établissement d'une réelle paix avec les Hyliens. Ganondorf partit donc, accompagné par une garde d'honneur, et je restai m'occuper de la Forteresse. J'appris qu'il avait été nommé Conseiller militaire par le roi, ce qui me laissa un sentiment partagé : j'étais fière que notre talent au combat soit reconnu, mais que notre Roi soit retenu loin de son peuple pour conseiller un autre monarque…

Puis vint la nouvelle qui m'horrifia. L'attaque du château d'Hyrule, la mort du roi, la fuite de la princesse… Ganondorf était parti, avec notre bénédiction, pour instaurer la paix, et il ruinait tous nos efforts de rapprochement avec les Hyliens pour plonger le pays dans la guerre. J'étais furieuse contre lui, et je n'attendis pas longtemps pour exprimer publiquement ce que je pensais de cette action. Je n'en eus malheureusement pas l'occasion bien longtemps…

J'avais entendu dire que Ganondorf avait chargé les soeurs Twinrova de trouver, dans le temple, des bracelets conférant une force colossale à leurs porteurs. Parce qu'il en avait besoin ou parce qu'ils seraient utiles pour s'opposer à lui. Toujours est-il que je me rendis à la Déesse de Sable, à la fois car j'avais une responsabilité envers elle et pour trouver avant mon roi ces bracelets.

Ce fut à ce moment-là que je rencontrai Link pour la première fois, ne me doutant pas une seule seconde que le gamin que j'envoyai se faufiler dans des endroits qui m'étaient inaccessibles était un Héros choisi par les Déesses. Mais j'étais tombée dans le piège des sorcières, qui avaient volontairement fait parvenir une telle rumeur jusqu'à moi pour m'attirer dans le temple, et alors que j'attendais le retour du petit vert, elles m'attaquèrent par surprise, m'asservissant à leur volonté à l'aide de leurs enchantements.

La suite est bien plus floue dans mes souvenirs. Je me souviens de certains événements avec une acuité qui m'étonne, encore à présent, mais bien des jours - à moins que ce ne soit des semaines ou des mois ? - sont plongés dans une sorte de brouillard, sans que je ne parvienne à me souvenir précisément de tout ce que j'ai fait pendant cette période. Une chose est certaine. Les Twinrova me traitaient comme leur esclave, puisque j'obéissais à la moindre de leurs volontés. A quelques exceptions près.

Lorsque Ganondorf revenait à la Vallée, lorsqu'il venait les voir, me voir, c'était, en apparence, comme si rien ou presque n'avait changé. Comme si seule ma loyauté était contrainte par les sortilèges des deux sorcières. Je ne pouvais rien dire à Ganondorf - et même si je l'avais pu, l'aurais-je fait ? - mais j'appréciais tout de même ses visites, comme les rares moments où je pouvais être à peu près moi-même. Etait-il informé de ma situation quotidienne ? Je n'en savais rien. Et je ne suis pas certaine de vouloir savoir…

Puis, après sept longues années arriva le Héros du Temps. Nous nous affrontâmes, sa lame parvenant à traverser mon armure pour me blesser. Mais elle rompit également le charme qui m'opprimait depuis toutes ses années, avant qu'il ne se serve d'elle pour mettre un terme aux agissements des deux soeurs, me libérant pour de bon. Ce fut à ce moment-là que j'appris que les Hyliens avaient un autre mot pour mon titre d'Exaltée : Sage. Il y avait plusieurs Temples à travers le royaume, et j'étais la Sage du Temple de l'Esprit.

La suite… Nous l'avons racontée à tous. Le fait que tous les Sages aient unis leurs pouvoirs pour permettre à Link de terrasser son adversaire, et la magie de la Princesse Zelda qui avait permis de revenir dans le temps, sept ans auparavant, pour effacer les années d'horreurs et de douleurs, et bâtir un meilleur avenir.

Nous avions perdu notre roi, mais j'étais persuadée que c'était, somme toute, mieux ainsi. Et la principale cause de mon ressentiment envers Ganondorf était la certitude qu'il aurait été un excellent roi, s'il n'avait pas mal tourné ainsi. Je fis mon possible pour diriger la tribu aux côtés du Conseil des Anciennes, poursuivant nos efforts pour nous ouvrir sur les autres peuples et améliorer nos relations avec eux, sans personne pour les gâcher, cette fois-ci. Du moins pendant un temps…

Lorsque j'eus vent des rumeurs de son retour pour la première fois, je ne parvins pas à y croire. Mais tant de gens en parlaient que je finis par douter et allai rendre visite à la reine. J'en revins encore plus inquiète, ne sachant que faire, ni pour vérifier si le sceau était ou non rompu, ni pour le renforcer dans le second cas, ni pour emprisonner à nouveau Ganondorf dans le premier cas. Car s'il revenait, il voudrait certainement retrouver le pouvoir dont il s'était emparé par la force, et se venger de ceux qui l'avaient vaincu, et je ne pouvais le permettre, par rapport à Hyrule comme à mon peuple, en tant que Sage comme en tant qu'Exaltée.

Je me débattis longtemps contre mes craintes, sans même savoir si elles étaient fondées, jusqu'à ce que Ganondorf vienne me trouver, vienne réclamer sa place de roi. Je m'y opposai, mais il invoqua l'Ordalie des Sables contre moi, et je ne pus m'opposer à sa force, alors même que, selon la tradition, ses pouvoirs lui étaient inaccessibles. Je m'attendais à perdre la vie à l'issue de ce combat, mais il m'épargna et m'offra de choisir entre l'exil ou être sa conseillère.

La décision ne fut pas excessivement difficile à prendre. En tant qu'Exaltée, j'avais une responsabilité envers mon peuple, que je ne pouvais pas prendre à la légère. Je ne négligeais pas, pour autant, ce que les autres peuples attendaient de moi en tant que Sage, mais même sous cet angle, l'exil ne m'apporterait rien. En restant auprès de Ganondorf, je pouvais espérer surveiller ses agissements, et l'empêcher, dans la mesure de mes moyens, de recommencer ses atrocités. Je le pourrais, de toute manière, davantage qu'en quittant la Vallée à jamais. Et je ne voulais pas non plus m'écarter de mon Temple.

Et voilà où j'en suis. Conseillère d'un homme que j'admire autant que je le désapprouve, Exaltée des Gerudos et Sage d'Hyrule. Pour l'heure, aucun conflit n'a éclaté, et tout se passe bien dans mon Temple, mais… Pour combien de temps ?

Et Après ?

Prénom/Surnom: Alice
Age : 22 ans si je finis cette fiche assez vite...
Comment as-tu découvert le forum ? J'sais pas. Demandez à Soren, Enyx, Ayshell et Khinjar.
Pourquoi t'être inscrit(e) ? Pasque… J'ai fait un cadeau à Ganondorf ?
Comment trouves-tu le forum ? Il est très squee.
Autre chose à ajouter ? … -rapie !
Code du règlement: Validé ~
(c) Codage de la fiche par Kee-Mey, Legend of Hyrule
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triforce

Kee-Mey

Gardien du Temple du Temps

Kee-Mey
Gardien du Temple du Temps

Messages : 226
Inscription : 02/12/2012

Informations
DC: //
Camp: Zelda

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MessageSujet: Re: Nabooru l'Exaltée - Sage de l'Esprit   Nabooru l'Exaltée - Sage de l'Esprit Icon_minitimeMer 1 Avr - 23:23


Va-li-dée
Que dire de plus, de toute façon..? xD

http://crimi-azna.deviantart.com/
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triforce

Invité

Invité

Anonymous

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MessageSujet: Re: Nabooru l'Exaltée - Sage de l'Esprit   Nabooru l'Exaltée - Sage de l'Esprit Icon_minitimeMer 1 Avr - 23:24


... j'ai même pas eu le temps de dire bienvenue qu'elle est déjà validée...

*s'en va*
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MessageSujet: Re: Nabooru l'Exaltée - Sage de l'Esprit   Nabooru l'Exaltée - Sage de l'Esprit Icon_minitime


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